OPEN SPACE

Dès 2010 lorsque nous avons eu connaissance de la politique immobilière de l’OIB soi-disant « avant-gardiste » de proposer des open space  comme des espaces de travail modernes, nous n’avons cessé de dénoncer ce projet.

Etant donné la sensibilité de ce dossier et l’impact de ces nouveaux espaces de travail sur le bien-être et la santé du personnel (bruit, concentration, fatigue, qualité de travail, problèmes relationnels, troubles du sommeil, troubles gastro-intestinaux, troubles cardio-vasculaires…), nous avons décidé d’agir en collaboration étroite avec le personnel concerné.

C’est ainsi que nous avons lancé notre première consultation auprès du personnel du PMO et ensuite de nos collègues de la DG NEAR, à leur demande.

Depuis toujours, nous sommes LE syndicat qui agit après consultation du personnel et en se basant sur des études d’experts… 

Sur ce dossier, nous avons :

  • lancé une enquête auprès du personnel du PMO & DG NEAR
  • analysé les résultats sur base de travaux d’experts et de données scientifiques
  • dénoncé les risques relatifs à la santé du personnel et de l’efficience du service
  • communiqué sur les projets PMO, DG DIGIT, DG TAXUD, DG NEAR, JRC…

Les avancées obtenues…

  • abandon des OPEN SPACE : DG TAXUD, DG NEAR, JRC

Nous restons vigilants et continuerons à intervenir.

R&D demande :  

  • le lancement d’une enquête intégrant l’évaluation du WIP (index de l’évaluation de l’espace de travail) pour les services ayant déjà opté pour l’ open space, soit 4000 collègues concernés
  • l’intégration de l’évaluation du WIP dans le prochain Staff Survey
  • l’instauration d’une politique de vigilance aux premiers signes de risques psychosociaux et de baisse de santé physique des collègues travaillant dans des services ayant opté pour l’open space, notamment PMO, OIB, DIGIT
  • la participation obligatoire à une formation spécifique de prévention des risques en open space pour les managers des services ayant opté pour cet espace de travail
  • l’abandon de toute approche visant à établir une politique immobilière uniquement sur base de rationalisation des espaces et de baisse des dépenses budgétaires. A cet égard, les prévisions de la politique immobilière de l’OIB prévoyant une restriction d’environ 20.000 m2 d’espace de travail d’ici 2021 n’est pas réaliste et compatible avec le bien-être du personnel